Dodge Coronet
Son Histoire de 1949 à 1976
C’est en 1949 que la Coronet commença sa première carrière comme entrée gamme des intermédiaires de Dodge, pour ensuite la terminer en 1959. Elle réapparut en 1965 avec cependant une nouvelle vocation. Elle était l’intermédiaire pouvant se transformer en muscle car avec ses versions R/T et ses groupes d’options pouvant accueillir le fameux Hémi.
– 1949 1950
1951 1952
1955 1956
1957 1958 1959
Quatre différents styles de garnitures étaient offerts en 1966 comprenant, entre autres, l’option de base avec le légendaire 6 cylindres de 225 p.c..
Dans les années 1960, beaucoup de fans Mopar aimaient faire la course les week-ends et la Coronet R/T était un choix fort populaire, autant sur piste que sur route. |
Le 0-60 mph se faisait en 7,2 secondes et le quart de mille en 15,4 secondes. Le moteur était le V-8, 440 Magnum de 375 chevaux pouvant être accouplé à une transmission manuelle quatre vitesses ou la Torque Flite automatique. Pour un peu moins de $1000.00, l’option Hemi était disponible en commande spéciale et seulement 238 Coronet R/T en ont été équipées.
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Elle offrait une gamme complète de carrosseries, passant de la décapotable à la familiale,
offrant un choix de 16 couleurs et une multitude de groupes motopropulseur.
La plus sportive, la R/T, possédait de nombreuses caractéristiques de série, comme un V-8 de 440 p.c. développant 375 c.v., un échappement double, une suspension sport et des freins à service intensif.
Pour un supplément d’environ $ 600 le Hemi de 426 p.c. était disponible avec ses 425 c.v. @ 5000 tr/min et 490 lb-pi de couple.
En milieu d’année, la version Super Bee arriva et était offert avec un V-8 de 383 p.c.développant 335 c.v., et était accouplé à une transmission Hurst 4 vitesses.
Le groupe d’option incluait aussi, un échappement double, l’emblème Bumblebee et un capot modifié.
En 1969 le Super Bee devenait un modèle de la gamme Deluxe
avec cependant des caractéristiques semblables.
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Le milieu de gamme était la 440, qui englobait tous les mêmes options que les versions Deluxe, plus des moulures de roue en aluminium poli.
Le haut de gamme, la série 500, venait avec un tableau de bord simili-bois ainsi que le groupe lumière.
Le R/T était en version deux portes hardtop ou décapotable. Il disposait du même groupe motopropulseur qu’auparavant.
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En 1970, les consommateurs pouvaient choisir entre 17 modèles avec un plus large éventail d’équipements standards.
La 500 était présenté avec intérieur tout vinyle, tapis, volant 3 branches, un moteur V-8, 318 p.c. et une console à l’avant et accoudoir central rabattable en option.
La R/T disposait de prises d’air sur le capot ainsi que sur les côtés, des sièges-baquets et tapis à l’intérieur. Le magnum 440 pouvait être accouplé avec une transmission automatique Torque Flite ou une manuelle 4 vitesses synchronisées.
Le Super Bee, était équipé du 383 p.c. et recevait au choix, une nouvelle transmission manuelle à 3 vitesses synchronisées, une manuelle à 4 vitesses ou la Torque Flite automatique.
Une nouveauté pour 1970, était l’option SixPack du 440, comprenant trois carburateurs deux barils.
Également la même année, les couleurs Crazy Plum, Sublime, Banana, Go-mangue et Hemi Orange étaient disponibles.
4 portes et en familiale avec empattement accru à 118 pouces.
Les caractéristiques de série sur les modèles de base incluaient le tapis de couleur coordonnée, cendrier arrière et un volant 2 branches. Le Brougham était la gamme supérieure, tandis que le Crestwood était le haut de gamme dans les familiales. Les caractéristiques du Brougham incluaient un intérieur tissu et vinyle et sièges avec accoudoir central rabattable. Un moteur V8 de 300 c.v. et 410 pi.lb. de couple était disponible sur le Brougham .
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Pour 1973, la Coronet offre quelques améliorations intérieures pour réduire le niveau de bruit ainsi qu’une modification côté suspension.
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Enfin, en 1975, Dodge réintroduisait le 2 portes avec les gammes Base, Custom et Brougham. Avec une variété d’options comme les sièges-baquets et un accoudoir central rabattable, la Coronet pouvait recevoir, comme moteur standard, le 6 cylindres 225p,c, en ligne ou le V-8, 318p.c.. Le Brougham avait une garniture de niveau supérieur et offrait des moulures latérales spéciales, du vinyle rembourré et des roues de style turbine. La Crestwood était le haut de gamme de la familiale Coronet. En plus de tous les équipements standards des autres modèles familiales, elle comprenait un déflecteur d’air monté sur le toit, des enjoliveurs de luxe, un tapis dans le compartiment bagage et le décor simili bois de côté de carrosserie.
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En 1976, le coupé 2 portes fut renommé Charger et la Coronet était seulement disponible en 4 portes berline et en familiale. Le Brougham était le niveau supérieur pour la berline, et le Crestwood représentait le haut de gamme de la familiale.
Ce fut la dernière année ou Dodge utilisa le nom Coronet sur une de ses carrosseries.
L’année suivante, les 2 et 4 portes ainsi que les familiales de ces modèles étaient
renommés Monaco.
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Quelques miniatures ou Diecasts de la Coronet.
1/64
M2 Hotwheels
1/24
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1/18
Campbell Collectibles Highway 61
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N’oubliez pas de consulter notre section : Brochures automobile Catalogues
Par: René Poulin
2 Commentaires
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Bonjour . J’ai été surpris de voir que le Coronet R/T 1967 faisait le 1/4 de mile en 15.4 sec . Même avec un différenciel de 2.76 , ce véhicule aurait du rouler dans le 14 sec . Mon Charger 1969 avec un 383 , 4 corps , 3.23 de différenciel roulait 14.70 SANS aucune modification . Mon GTX 1969 avec un 440 Super Commando mais avec un différenciel 3.91 (( lui aussi sans aucune modification ) faisait le 1/4 de mile en 13.90 sec . ..J’avais déjà vu des résultats de Super Bee 383 avec le 1/4 de mile en 15 sec dans une revue . pourtant ce char musclé pouvait facilement rouler 14.60 avec un différenciel 3.23
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Auteur
Les résultats viennent très souvent des tests effectués à cette période. Au départ si vous faites le mêmes tests aujourd’hui avec le même véhicule,
quelques facteurs peuvent affecter les résultats. Les pneus de cette période, l’essence et le pavage. On peut aussi ajouter le pilote et la température.
Vous n’avez sûrement pas fait exactement les mêmes temps à chaque essai. D’ailleurs les différents magazines arrivent à peu près aux mêmes résultats
mais pas exactement aux mêmes et c’est normal.
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