Festival du Grand Prix de Montréal 2015
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Les festivités urbaines lors du Grand Prix de F-1 à Montréal sont reconnues mondialement et entraînent les amateurs de course à faire une expérience dans une atmosphère enivrante au cours de ce week-end très achalandé. C’est pour plusieurs, l’opportunité d’explorer le monde fascinant de la F1 et de voir de vraies voitures de course à travers une variété de kiosques et expositions.
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Rue Crescent
Depuis 1999, la rue Crescent, entre Sherbrooke et Sainte-Catherine, est l’un des points de mire des amateurs de voitures de course lors du la fin de semaine du Grand Prix. L’autre se situe dans la Petite Italie, sur la rue St-Laurent au sud de Jean-Talon. Nous y reviendrons dans une deuxième publication.
La rue Crescent du centre-ville de Montréal était donc l’hôte du16e Festival Grand Prix les 4, 5 et 6 juin dernier.
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Les amateurs, venus en grand nombre pour célébrer la plus prestigieuse course au Canada, ont eu droit à des prestations en public sur la grande scène principale, données par les meilleurs groupes de l’heure.
Des séances d’autographes de pilotes, des jeux de simulation de course, des concours d’habileté de changement de roues en Pit Stop et la musique en continue mixée par plusieurs DJ faisaient partie des activités.
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Beaucoup de gens ont cependant remarqué le manque évident de voitures américaines. Curieusement Harley-Davidson incarnait en majorité le monde de la moto.
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Les superbes Lamborghini et Ferrari, en démonstration attiraient, bien entendu, l’attention.
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Porsche, présentait la plus belle démonstration avec des modèles de nouvelle génération, de transformation avec une Porsche Attack d’Anibal Automotive Design et de rétrospective avec d’anciens modèles.
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Voitures électriques
Une belle panoplie de véhicules électrique captivait l’attention de nombreux visiteurs.
Ce groupe était constitué par Tesla, BMW et par des représentants du Québec, La Lito, une moto de très haute technologie conçue par Jean-Pierre Legris et la Tomahawk de Super Light Car dont Mike Kakogiannakis et Mario Dubuc sont les auteurs.
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Galerie virtuelle
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Par René Poulin