Granby International 2022 1ère partie
Depuis 1981, le club automobile (V.A.G) présente le Granby International, qui est rapidement devenu l’un des événements automobiles d’époque les plus importants au Canada. Se tenant en Montérégie dans la ville de Granby, cette vitrine de la voiture ancienne est devenu le rendez-vous annuel à ne pas manquer.
C’est au Parc Daniel-Johnson sur les rives du Lac Boivin, que quelques dizaines de milliers de visiteurs se retrouvent pendant la dernière fin de semaine de juillet.
De plus, on y présente un encan avec voitures classiques, un marché aux puces de pièces et plus encore. Selon Denis Fausse, président des Voitures Anciennes de Granby, c’est une année record avec plus de 40000 visiteurs en trois jours, du vendredi au dimanche.
Le record précédent s’élevait à 35 200 participants. On y retrouve des visiteurs, des exposants, des bénévoles et des vendeurs des 506 kiosques du marché aux puces. Certaines voitures attiraient l’attention par leur originalité. En commençant par un corbillard Fleetwood et son sympathique propriétaire Richard Roberge du Roxton Pond.
Comme la mythique voiture du film SOS Fantômes, cette dernière contenait également un cercueil ouvert incluant un squelette actionné mécaniquement.
Suffisamment pour attirer l’attention et les enfants en bas âge. Le propriétaire a acheté un corbillard classique il y a environ quinze ans. Il l’a modifié il y a cinq ans. Sur la carrosserie désormais blanche, il a ajouté des fantômes à l’image du coronavirus tout récemment.
Né à Jonquière, Robin Brassard est venu à Granby avec sa conjointe.
Il présente une GTO de 1970, une voiture qui a marqué sa jeunesse.
Il n’a pas compté tout l’argent et le temps qu’il a pris pour le restaurer en commençant à acheter des milliers de dollars de pièces chaque année. J’ai fait venir les morceaux des États-Unis.
« J’ai pratiquement tout changé », a-t-il ajouté, avec passion. Bien entendu, nous pourrions vous conter des centaines d’histoires aussi captivantes les unes que les autres. À vous de les découvrir.
Par René Poulin