James Corbett Sculpteur

James Corbett   Sculpteur

 

James Corbett, Australien de 46 ans,  fabrique ses montages à partir des pièces d’autos des années 1950 et 1960

!cid_141BFE98E31042B1BF83A89F51AFD7B0@diane   On le voit ici avec une de ses oeuvres.

!cid_D9AC6DC8F3184CDB9773378B4FFFB032@diane   Ce mouton, fait de bougies d’allumage, s’est vendue à $23,000.

!cid_30729C6D6DB04A52890215E1200BFD09@diane

Ses sculptures sont faites d’engrenages, de bougies d’allumage, de tuyaux d’échappement, de radiateurs, en faite, toutes pièces que peuvent inspirer l’artiste.

!cid_9888CF17550448F2BD2ED4BF07CADDB3@diane

Après des semaines de recherche , James  nettoie ses trouvailles  méticuleusement et les assemble.

!cid_10166827A79343EC99E55E8F9D6A7BF4@diane


James travaillait dans une «cour de recyclage» et une connaissance qui coursait sur de vieilles autos, lui avait montré un trophée fabriqué artisanalement. Observant la pièce, il se dit qu’il était capable de faire mieux.Ce fût le début.

!cid_88C216CB4F9D4DB3801BCA113E288C6F@diane

Les gens appréciant de plus en plus  ses pièces, le  passe-temps  devint la façon de gagner sa vie et le  rêve, la réalité.

!cid_74B53B12FD394140894B9F0FCAAF3450@diane

 Chaque pièce nécessite environ une semaine de travail, et les plus grandes exigent beaucoup plus de temps.

!cid_5BF02234ACF145F3BE508D8CD49D899C@diane


James demeure à Ningi , Queensland en Australie avec  Jodie, son épouse.

!cid_EA0E9559AFB245CCA264B63E16369061@diane !cid_FD4F79EEB45544C0B7F96B5420DD2794@diane


James préfèrent monter ses sculptures avec des pièces recyclées de voitures françaises et britanniques.

 

!cid_B91AE01128A049CFBF21E9CB950A4514@diane

À ses dires, l’étape la plus dure est de trouver les pièces et non de les souder.

!cid_620D22F93AC64E63B5794F3BD074FD53@diane

 
Les deux pièces qu’il affectionne particulièrement, sont le mouton et le sanglier.

!cid_1B19B9EDE18B45B19D7675E16DA55B39@diane                         !cid_3E6285F13BD3405E91FE8B504F3BDC2E@diane

!cid_2E4C8C47C1924398A6D58E4FD7DB20A3@diane                         !cid_43FEE77E4D5541B28646996BD8993FEC@diane

!cid_E570AADB77184C61998B6E896F814284@diane                         !cid_677C96BD18974853A89A2737FA7A1FCA@diane

!cid_752DC4A3D9694440AAE8B433F05C99CC@diane   !cid_27791BA3E19D480A9A474CA65622F2E6@diane   !cid_300A36698F7B472093C3C4440D9E356F@diane

!cid_92B9293FEE9A452D89D6B53F665D4658@diane                          !cid_D3FDC884BF834AD4B061F2CE9D46EB04@diane

!cid_A354788C74BE485AA67A11E6107A3AB6@diane                          !cid_0493AA1CFAFE451F93D920711242B85E@diane

!cid_83596A22B6524DD5B64F5A50DDD23522@diane                          !cid_92ECD8BB0B9E47309EAE3834508B942D@diane

Par René Poulin

 

0 Commentaire

Laissez une réponse

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

*