Mercury Cyclone
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En 1970, le modèle Cobra Jet fut retiré de la gamme et le nom fut appliqué à des moteurs de série.
La gamme de Cyclone était disponible en 3 versions. Le Cyclone, Cyclone Spoiler et GT.
Le moteur du Cyclone de base était le 429 p.c. à carburateur quatre corps avec échappement double développant 360 c.v..
Deux moteurs optionnels étaient disponibles. Le 429 c.p. Cobra Jet de 370 c.v. avec carburateur quatre corps, échappement double et Ram Air et le 429 p.c. Super Cobra Jet, qui faisait partie de l’option Pack Drag, qui développait 375 c.v..
Le Cyclone Spoiler était équipé de déflecteurs d’air avant et arrière, de bandes décoratives de type course de l’avant à l’arrière de la voiture, d’un capot avec prises d’air et de miroirs de course. Le 429 p.c. Cobra Jet était le moteur standard et le 429 p.c. Super Cobra Jet était optionnel.
Le GT comprenait un capot avec prise d’air non fonctionnel, des bandes latérales inférieures pleine longueur, des miroirs de course, des sièges baquets, des garnitures de portes, et un volant à trois branches.
Le moteur était le 351 p.c. à carburateur double corps et un système d’échappement simple développant 250 c.v.. Une version optionnelle du 351 p.c. avec carburateur quatre corps et échappement double développait 300 c.v. Le GT pouvait également être équipé des 429 p.c..
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En 1971, le cyclone avait perdu sa distinction comme il a été rebaptisé Mercury Montego Cyclone. Les trois variantes (cyclone, le cyclone GT, Cyclone Spoiler) ont fusionné pour former la ligne de Montego. Il se vend mal, les chiffres de production pour le Cyclone se trouvaient dans les trois chiffres. Le Montego Cyclone GT, qui a utilisé le moteur 351 Cobra Jet, vendu beaucoup mieux, mais toujours vendu moins que ses prédécesseurs.
L’année suivante, il n’y avait aucune plaque signalétique du cyclone. La Comète, où le badge cyclone a commencé, a été réduite à un standard à six cylindres, et retourné comme une voiture économique telle qu’elle était avant 1964. [1]
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Miniature du Cyclone
Johnny Lightning 1/64 – 1971
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Par René Poulin
